Le trésor enfoui

Au travers de plusieurs paraboles particulièrement intéressantes, Jésus encourage ses disciples à rester vigilants et à mettre en pratique les bienfaits uniques que Dieu  accorde.

Vers la fin de son ministère, Jésus donna une description poignante de ce que serait la situation dans le monde avant sa seconde venue. Il expliqua ensuite ce que ses disciples devaient faire en préparation de cet événement, quel que soit le moment où il surviendrait.

C’est ainsi qu’il déclara que nous devions apprendre du figuier : tout comme nous pouvons dire que l’été approche quand les feuilles sortent, globalement nous pouvons repérer le retour de Jésus puisque les conditions qu’il a évoquées seront réunies.

Il précisa qu’une seule génération verrait l’accomplissement de toutes les situations prophétisées. Les multiples guerres, séismes, famines et persécutions que les deux derniers millénaires ont connus n’ont donc logiquement pas été l’indication de la fin du monde ; ils n’en sont que les signes avant-coureurs. De plus, les désordres qui sont prévus dans les cieux n’ont pas encore eu lieu.

Le retour de Jésus-Christ n’est pas un mythe ; c’est une réalité qui n’est pas encore arrivée. Toutefois, comme l’a précisé Jésus, il est impossible de prédire le moment exact de son retour. Il expliqua que même lui ne savait pas quand cela se produirait : « personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul » (Mathieu 24 : 36, Nouvelle Édition de Genève 1979, tout au long de cet article).

En revanche, il donna quelques précisions sur l’état du monde à cette époque, notamment sur sa conduite et sa façon de procéder : « Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vienne et les emporte tous ; il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme. » (versets 37-39). Autrement dit, la plupart des gens continueront à s’occuper normalement, apparemment inconscients de ce qui sera sur le point de se produire, et ce, en dépit des avertissements qu’ils auront entendus. En revanche, le petit nombre qui se tiendra averti en réchappera.

LEÇONS DE VIGILANCE

De même, Jésus relata cinq paraboles pour faire comprendre combien il est important de se montrer fidèle et vigilant sur le plan individuel. Il expliqua que nous devons assurer la garde – surveiller avec attention – puisque nous ne connaissons pas le jour de son retour : « Il en sera comme d’un homme qui, partant pour un voyage, laisse sa maison, remet l’autorité à ses serviteurs, indique à chacun sa tâche, et ordonne au portier de veiller. » (Marc 13 : 34).

Dans l’anticipation de son retour, il nous enjoint en ces termes : « Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s’appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l’improviste ; car il viendra comme un filet sur tous ceux qui habitent sur la surface de toute la terre. » (Luc 21 : 34-35). L’information est valable pour tous : « Ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez. » (Marc 13 : 37).

« Ce que je vous dis, je le dis à tous : “Veillez”. » 

Marc 13 : 37, Nouvelle Édition de Genève 1979

Dans la deuxième parabole, il s’agissait de surveiller l’arrivée d’un voleur : « Si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas. » (Matthieu 24 : 43-44).

Dans une troisième illustration, plus longue, Jésus parla d’un serviteur que son maître avait chargé de s’occuper des autres serviteurs pendant son absence : « Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! (versets 45-46). Ce que Jésus met ici en avant, c’est la loyauté jusqu’à son retour.

Par ailleurs, l’exemple comporte un avertissement pour ceux qui seraient tentés de dire que la seconde venue est très éloignée. En effet, Jésus continua ainsi : « Mais, si c’est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, s’il se met à battre ses compagnons, s’il mange et boit avec les ivrognes, le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s’y attend pas et à l’heure qu’il ne connaît pas, il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites : c’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents. » (versets 48-51).

La quatrième parabole sur l’importance de la vigilance est la parabole bien connue des dix vierges. Cinq étaient sages ; les cinq autres étaient sottes. Elles attendaient la venue d’un jeune époux. La moitié d’entre elles n’avaient pas emporté de réserve d’huile pour leur lampe. L’autre s’en était munie. La venue du marié fut retardée et toutes s’endormirent. À minuit, on leur annonça son arrivée. Seule la moitié d’entre elles étaient prêtes, leurs lampes pleines d’huile, pour sortir et aller à sa rencontre. Les autres tentèrent en vain d’acheter de l’huile, mais il était trop tard. Le jeune époux arriva alors qu’elles n’étaient pas prêtes. Plus tard, elles essayèrent de se joindre au banquet de noce mais on ne les laissa pas entrer : le marié leur répondit : « je ne vous connais pas » (Matthieu 25 : 1-3). Là encore, c’était un conseil de vigilance dans la mesure où le moment exact du retour de Jésus n’est pas connu.

La cinquième et dernière parabole sur la fidélité parlait d’un homme qui, partant en voyage, confia de l’argent à ses serviteurs jusqu’à son retour : « Il donna cinq talents à l’un, deux à l’autre, et un au troisième, à chacun selon ses capacité, et il partit. Aussitôt celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla, les fit valoir, et il gagna cinq autres talents. De même, celui qui avait reçu les deux talents en gagna deux autres. Celui qui n’en avait reçu qu’un alla faire un creux dans la terre, et cacha l’argent de son maître. » (versets 14-18).

Lorsque le maître revint, ceux qui avaient accru leurs biens furent récompensés en en recevant davantage. Ils avaient été loyaux. En revanche, celui qui avait agi dans la crainte de son maître et n’avait rien fait, se vit retirer son argent, lequel fut donné à celui qui avait dix talents. Dans la parabole, le serviteur déloyal est qualifié d’inutile.

Dans l’attente du retour de Jésus-Christ, il est évident que la vigilance et la fidélité sont indispensables.

VIE ET MORT ÉTERNELLES

Jésus avait répondu en détail aux questions de ses disciples sur la fin des temps, et sur son retour afin de gouverner en tant que Roi des Rois. Pour conclure, il parla ensuite du jugement qui se tiendra après sa seconde venue. Même si c’était une manière inattendue de terminer sa discussion, elle ramenait ses adeptes à leur responsabilité personnelle pendant qu’ils attendraient le retour de leur maître.

En effet, Jésus expliqua : « Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s’assiéra sur le trône […] Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs ; et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche. » (Matthieu 25 : 31-33). Ce souverain aura autorité sur les nations et il les jugera selon une norme digne d’intérêt, comme le précise ensuite Jésus.

« J’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire. »

Matthieu 25 : 35

« Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais malade, et vous m’avez rendu visite ; j’étais en prison, et vous êtes venu vers moi. » (versets 34-36). Comme l’expliqua Jésus, du moment que ses partisans l’avaient fait pour un semblable, c’était comme s’ils avaient rendu ce service à Jésus lui-même.

À ceux qui n’avaient pas été serviables envers autrui, le Rois des Rois dira : « Retirez-vous de moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Car j’ai eu faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’ai eu soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ; j’étais étranger, et vous ne m’avez pas recueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas vêtu ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas rendu visite. » (versets 41-43).

La vie éternelle et le châtiment éternel seront décidés finalement en fonction de notre conduite à l’égard de Dieu et de nos semblables, nos actes en offrant la preuve. Observerons-nous les deux grands commandements de la loi dont Jésus a parlé au jeune homme riche qui voulait la vie éternelle ? Aimerons-nous Dieu et notre prochain ?

CUPIDITÉ ET TRAHISON

Une fois terminée cette longue conversation avec ses disciples, Jésus leur rappela que la Pâque était dans deux jours et que sa mort était imminente.

Les autorités religieuses cherchaient un moyen de le faire prisonnier et de l’assassiner. C’est ce que l’Évangile de Matthieu relate ainsi : « Alors les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple se réunirent dans la cour du souverain sacrificateur, appelé Caïphe ; et ils délibérèrent sur les moyens d’arrêter Jésus par ruse, et de le faire mourir. Mais ils dirent : Que ce ne soit pas pendant la fête, afin qu’il n’y ait pas de tumulte parmi le peuple. » (Matthieu 26 : 3-5).

Jésus séjournait près de Jérusalem, à Béthanie, avec ses amis ainsi que Marie, Marthe et Lazare, leur frère. Un soir, ils s’étaient réunis chez un homme appelé Simon, lorsque Marie prit un parfum onéreux et le répandit sur Jésus. Cela dérangea certains membres du groupe qui y virent du gaspillage. Selon eux, le parfum aurait pu être vendu afin de rapporter de l’argent pour les pauvres.

L’un des disciples contrariés était Judas Iscariot, l’homme qui allait bientôt livrer Jésus aux autorités. Pourtant, comme le montre l’Évangile de Jean, les motivations de Judas étaient loin d’être pures : « Il disait cela, non qu’il se mettait en peine des autres, mais parce qu’il était voleur, et que, tenant la bourse, il prenait ce qu’on y mettait. » (Jean 12 : 6).

À l’accusation de gaspillage à l’encontre de Marie, Jésus répliqua : « Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action à mon égard ; car vous avez toujours les pauvres avec vous, et vous pouvez leur faire du bien quand vous voulez, mais vous ne m’avez pas toujours. Elle a fait ce qu’elle a pu ; elle a d’avance embaumé mon corps pour la sépulture. Je vous le dis en vérité, partout où la bonne nouvelle sera prêchée, dans le monde entier, on racontera aussi en mémoire de cette femme ce qu’elle a fait. » (Marc 14 : 6-9).

Pourtant, Judas n’était pas satisfait. Le passage suivant à son propos raconte le moment où il décida de remettre Jésus aux autorités. Il s’était rendu auprès des chefs religieux pour leur demander combien ils paieraient cette trahison. Ils lui donnèrent 30 pièces d’argent.

Judas se mit alors à chercher l’occasion de livrer Jésus une fois la foule éloignée. Malgré l’engagement antérieur des autorités de ne pas capturer Jésus pendant la Pâque à cause des rassemblements et de sa popularité, l’offre de Judas était trop belle pour être refusée.

QUI EST LE PLUS GRAND ?

La dernière Pâque à laquelle Jésus participa avec ses disciples se déroula dans une chambre haute, à Jérusalem. C’était un mardi soir. Jésus et ses disciples se réunirent pour célébrer la plus solennelle des observances bibliques. Lorsqu’ils furent assis, Jésus déclara : « J’ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous, avant de souffrir ; car, je vous le dis, je ne la mangerai plus, jusqu’à ce qu’elle soit accomplie dans le royaume de Dieu. » (Luc 22 : 15-16). C’était le signe que sa mort était imminente. Ses disciples ne semblaient pas encore comprendre la portée de ce qu’il disait, comme le montre ce qui s’est produit ensuite.

Une dispute éclata entre eux pour savoir qui était le plus grand. Jésus expliqua, comme il l’avait déjà fait, que servir était ce qui distinguait les chefs justes parmi eux. Ce n’était pas la suzeraineté ou l’autorité de l’humanité. Il ajouta : « Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert. Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. » (versets 26-27).

Orientant leur perspective vers le but suprême, il leur rappela qu’ils seraient avec lui dans son royaume : « Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ; c’est pourquoi je dispose du royaume en votre faveur, comme mon Père en a disposé en ma faveur, afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume, et que vous soyez assis sur des trônes, pour juger les douze tribus d’Israël. » (versets 28-30).

UN ACTE DE GRANDEUR

Afin de mettre l’accent sur l’humilité qui leur serait nécessaire pour vivre ensemble et avec leurs semblables, Jésus se leva de table, ôta son manteau, s’entoura la ceinture d’une serviette et entreprit de leur laver les pieds.

C’était une tâche subalterne, normalement exécutée par la domesticité. Pourtant, là, c’était leur Maître qui le faisait. Quelques instants plus tôt, ils discutaient de leur grandeur, et maintenant lui leur montrait un exemple réel de la façon d’être en esprit. On était bien loin de l’auto-élévation qu’ils venaient de se permettre.

Il alla vers Pierre qui s’exclama, plutôt dérouté : « Toi, Seigneur, tu me laves les pieds ! » (Jean 13 : 6). Pierre n’avait pas encore compris la portée des choses, mais il ne tarderait pas. C’est ce que lui dit Jésus avant de déclarer qu’il ne devait pas refuser s’il voulait avoir une part avec lui. Alors Pierre répondit qu’il voulait à présent être lavé tout entier. Jésus lui expliqua alors qu’un lavage des pieds suffirait.

Une fois l’ablution terminée, Jésus leur demanda s’ils avaient compris ce qu’il venait de faire. « Vous m’appelez Maître et Seigneur ; et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres ; car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’apôtre plus grand que celui qui l’a envoyé. Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, pourvu que vous les pratiquiez. » (versets 13-17).

C’est ainsi que Jésus a établi pour l’Église une nouvelle tradition à honorer après sa résurrection. L’une des pratiques que ses membres allaient observer sera de se laver mutuellement les pieds au cours de la cérémonie annuelle commémorant la vie de dévouement de Jésus et son sacrifice pour l’humanité.

LA VÉRITABLE QUALITÉ DE DISCIPLE

Toutefois, Jésus savait qu’à la table, était assis quelqu’un qui n’était pas véritablement dévoué. C’est pourquoi il affirma : « l’un de vous me livrera » (verset 21). Les disciples, déconcertés, se mirent à s’interroger. Pierre fit signe à Jean pour qu’il demande à Jésus de qui il s’agissait. Jésus répondit : « C’est celui à qui je donnerai le pain trempé ». Il le tendit alors à Judas Iscariot en disant : « Ce que tu fais, fais-le promptement » (verset 26-27). Mais les autres pensèrent que Judas devait acheter quelque chose pour la fête de la Pâque, puisqu’il était le trésorier.

Judas partit et Jésus, sachant ce qui allait se passer, déclara : « Maintenant, le Fils de l’homme a été glorifié, et Dieu a été glorifié en lui. Si Dieu a été glorifié en lui, Dieu aussi le glorifiera en lui-même, et il le glorifiera bientôt. » (versets 31-32).

Jésus leur rappela qu’il ne leur restait que peu de temps ensemble. Il saisit l’occasion de leur transmettre un dernier commandement : ils devaient s’aimer les uns les autres. S’ils s’y conformaient, tout le monde les reconnaîtrait : ils seraient les disciples de Jésus. En revanche, il leur dit aussi que, cette nuit même, tous commenceraient par l’abandonner. Pierre répliqua que jamais il ne le laisserait, mais Jésus dut dire la pénible vérité : avant le chant du coq, Pierre renierait son Maître trois fois.

REFONTE DE LA PÂQUE

Après le départ de Judas, Jésus institua un nouveau service de la Pâque, transformant l’observance de l’Ancien Testament en une commémoration propre au Nouveau Testament. Il mit en avant la prise du pain et du vin en tant que rappel annuel de son sacrifice personnel pour nos péchés. Marc nous raconte dans son Évangile : « Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain ; et, après avoir rendu grâce, il le rompit, et le leur donna en disant : Prenez, ceci est mon corps. Il prit ensuite une coupe ; et, après avoir rendu grâce, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit : Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu par beaucoup. Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu. » (Marc 14 : 22-25).

La commémoration annuelle de la Pâque du Nouveau Testament est une obligation pour tous les véritables disciples de Christ. Comme le dira plus tard l’apôtre Paul, « car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne » (1 Corinthiens 11 : 26). Lorsque Jésus instaura la réforme de la Pâque la veille de sa mort, il donna l’exemple à tous ceux qui le suivraient véritablement.